Retour sur une vieille rencontre

♣ Je lui en doit encore une ♣

Deidara & Hibari Kyoya © LIVEJOURNAL Je me rappel très vaguement cette sombre époque de ma longue et horrible vie. "Longue" est un mot un peu gros. En effet, je suis mort jeune. Dix neuf ans pour être exact. Vous imaginez un peu ? Peut être qu'à vos yeux l'adjectif employé, à savoir "horrible", est exagéré. Mais vous devez savoir, que chaque individu résidant sur cette planète a sa propre vision du monde qui l'entour. Peut être la haine, ou bien le désespoir, ou encore le courage, tant d'impression peuvent concerner cet univers, et plus précisément cet endroit, sur lequel je marche à nouveau. Mais sachez que nous ne pouvons pas avoir une réelle définition de ce qu'est "le monde". Pour certain, vivre sur cette terre peut être le paradis comme pour d'autre l'enfer. J'en conclu de mon propre point de vue, que ce monde est froid, et que ceux qui y résident n'ont aucune raison de vivre. C'est vrai! Quel intérêt de réaliser un but, un rêve qui pourrait nous prendre notre vie entière et de devoir après succomber à la mort ? Voyez à quel point c'est pathétique... Une seule chose reste et restera à jamais gravé dans l'histoire. Je parle évidemment de l'art! Que serait notre monde sans l'art ? Qui aurait construit les grandes statues qui ornes les falaises de Konoha si l'art n'avait pas fait son apparition ? Personne... Une autre chose résidera également pour toujours dans le cœur des hommes. C'est sa capacité à protéger quelque chose ou dans le pire des cas, quelqu'un. Évidemment, nous avons tous des ennemies et des amis. Une paire des êtres que nous connaissons méritent notre protection alors que d'autre méritent de pourrir dans leur coin agonisant jusqu'à la mort. Des personnes n'ont pas eu la chance d'avoir un ami pour ouvrir leur yeux et leur faire voir que ce don est primordial à la survie. Autant vous dire que ces personnes-là seraient mieux mortes et enterrées. Sans cet homme, j'aurais été destiné à suivre cette voie et à errer seul dans le désespoir et la solitude. Je lui doit encore la vie. Je n'est toujours pas payé ma dette. Oui je lui doit tout, à cause de ce jour-là, ou toute ma vie a basculé... ♣♣♣ Revenons quelques années auparavant... Là où tout a commencé.... Je me trouvais là, planté pieds contre sol, faisant face à d'étranges personnes vêtu de longs manteaux noirs à motifs rouge, qui apparemment, étaient venus jusque-là pour moi. Malgré le fait que rien n'apparaissait sur mon noble visage, je peux vous dire que du plus profond de moi la peur était plus présente que jamais. Le bas de mon corps était comme paralysé. Mes mains tremblaient, ma vue se troublait, ma gorge asséché se rétractait progressivement, et le sifflement des oisillons retentissaient dans mon oreille. Que faisait-il ici ? Qui étaient-ils ? Quelles étaient leurs intentions ? Les questions restèrent quelques minutes avant que je me retrouve sous le Genjutsu d'un des individus. Cette illusion avait retourné mon art contre moi. Moi, et ce grand brun aux allures froides et menaçantes avions entre autre conclu un marché, si je gagnais ce combat je serais libre, et s'il gagnait, je devrais les suivre et travailler pour eux. Et j'avais perdu... Ces trois personnes n'étaient autre que Kisame, Sasori, et Itachi. Je ne connaissais pas cette organisation à l'époque. L'akatsuki ou un truc comme ça. Je ne savais pas leur but, encore moins ce qu'ils comptaient faire de moi. Comme je suis du genre téméraire et que je n'obéis qu'à moi-même il était hors de question que je me joigne à eux. Je n'eus d'autre choix que de préparer un plan pour pouvoir déserter Iwa et survivre à ce que j'appellerais "la loi de la jungle". Comment faire ? Marchander. "Encore une chose, si je dois me joindre à vous, ce ne sera pas avant la prochaine lune. Revenez d'ici-tôt." Je venais seulement de voir les capacités d'une seule et unique personne et encore, je suis sûr qu'il en avait d'autre en réserve, celles des autres m'étaient toujours inconnues, je devais être prudent. Les quelques mots que j'avais prononcé sur un tond grave et sec furent entendu. Ils avaient acceptés de revenir le lendemain avant le couché du soleil. Une chance! Une fois que ces mecs se soient enfoncés dans les hautes montagnes qui entourent le pays de la Terre, je m'élançais en dehors de l'entrepôt que servait à la conception de mes chefs d'œuvres, en direction de mon lieu de résidence pour préparer à la rache ce qui pourrait servir à ma survie. Je pris évidemment de quoi me nourrir et de quoi m'hydrater, des vêtements de rechange, de quoi me laver en express, un kit de premier soin, un sac de couchage, de quoi allumer un feu en cas de besoin, et pour terminer, l'indispensable à tout artiste, de l'argile. Je n'eus même pas le temps d'expliquer mon départ, ni même le temps de dire adieu à mes amis, bien que j'en avais très peu. Je sortis donc en course de chez moi, puis zigzaguant entre les passerelles, et terminant par franchir le plus rapidement qu'il m'en était possible la porte principale d'Iwa, avançant tout droit vers les montagnes. Comme j'étais né ici, je connaissais le terrain mieux que quiconque, ce ne serait donc pas un problème d'emprunter le chemin le plus court pour arriver au minimum à la lisière de la forêt. Il me faudrait environ une bonne demie-heure avant d'atteindre le bas des falaises. J'inspirais donc un grand coup pendant quelques secondes avant de repartir en flèche pour trente minutes... ♣♣♣ Je voyais enfin les sapins verdoyant à l'horizon, j'allais enfin passer la frontière séparant le pays de la Terre de celui de la Pluie. Alors je que continuais plus au sud, environ quatre, cinq kilomètres après l'intersection des deux nations, je pris la décision de me poser quelques minutes, profitant par la même occasion de peaufiner mon art. Lorsque j'entendis le vent soufflait de plus en plus violemment, et que toute la végétation qui m'entourais commençait à s'agiter. Je ne vous cacherez pas que cette atmosphère apocalyptique m'inquiétais. Le soleil disparaissait peu à peu broyé par les nuages, et le ciel grondait. Quelques goutes d'eau finirent par arriver suivi d'une inverse. Pas un super temps pour ce faire attaquer... Pourtant c'est ce qui arriva... Un kunaï transperça mon haut côté droit, me projetant ainsi contre l'arbre situé juste derrière moi. Puis suivi d'un shuriken pour l'autre épaule, à savoir le gauche. Je ne voyais plus rien à ce moment-là. Fumigène ? Brouillard ? Bonne question, étant donné que je me trouvais dans le pays de la Pluie je me doutais plus à ce que ce soit un fumigène. Si nous avions été au pays de la Brume je ne dis pas, mais-là... Pendant que je me posais ces deux questions-là, trois ombres étaient bien distinct. L'un d'eux sorti, il portait un bandeau frontal du pays d'Oto, un des territoires voisin. Il prit la parole pour m'énoncer ceci : "Tiens, tiens, regardez les gars! Admirez ce qu'on vient de pêcher! [...] Il parait que les ninjas d'Iwa sont redoutables, je vais te ramener à notre chef... Comme ça, c'est sûr, on sera promus..." Aujourd'hui n'était vraiment pas mon jour, la rencontre avec cette Akatsuki plus tôt dans la journée et maintenant des gangs... Je n'étais pourtant qu'un gosse! Alors que le premier individu fouiller dans son sac, un deuxième apparut, portant lui aussi le bandeau d'Oto. Celui-ci s'approchait lentement de moi, retirant se qui me maintenaient à l'arbre. L'autre ressortit de son sac une corde. Je compris tout de suite ce qu'ils comptaient faire, et comme toute personne je pense, je n'allais pas me laisse faire comme ça, la honte... Tant bien que mal, j'avais beau me débattre, le grossier personnage qui se tenait devant moi avait réussi à immobiliser mes mains, l'autre profitait de la situation pour me les attacher et me saisir au niveau du vendre pour ensuite me positionner sur ses épaules. J'étais humilier, et j'avais honte.. J'étais tout de même du village d'Iwa! Un pays qui maitrise bien le pouvoir militaire, mais non. Trop faible pour faire face à des novices. En même temps, s'ils avaient gouté à mes explosifs ils auraient vite déguerpit. Mais bon dans la situation où je me trouve, il faudrait un miracle pour que je m'en sorte indemne. A la suite de cette dernière pensée, une nouvelle épaisseur de brume ou de je ne sais quoi ensevelit notre périmètre. Avant que je ne puisse m'en apercevoir, un homme avait fait éruption juste devant nous, c'était cet homme... Hibari Kyoya.

Retour sur une vieille rencontre

♣ Je lui en doit encore une ♣

Deidara & Hibari Kyoya © LIVEJOURNAL Un homme avait donc déboulé dans ce que j'appellerais notre "champs de bataille". Se qu'il faisait là ? Excellente question, et je vous la retourne. Ses intentions ? Encore un trou noir. Si ça se trouve elles sont pires que celle de ces loosers. Un pyromane ? Un sadique ? Un kidnappeur ? Un artiste ? Ou pire pour moi... Un coiffeur ? Oui, je dois l'avouer, à l'époque j'avais peur des coiffeurs et de leur ciseaux machiavélique. De peur à ce qu'ils coupent mes beaux et soyeux cheveux. Quoi que je doute que je fasse le fier devant un violeur... ou autre hein! Mais bon, tout ne reposait pas là-dessus. Tout reposait sur le fait que j'étais encore là, attaché, et sur les épaules de ce gros gorille de limite quatre mètres sans que je ne puisse agir, ni me défendre face à ses brutes, et qu'un potentiel imitateur soit venu pour les mêmes raisons. J'espérais de tout cœur que je me trompais. En tout cas, cet individu devait avoir à peu près mon âge, peut être légèrement plus jeune, et physiquement... chien et chat. Un brun, je suis blond. Plutôt grand, je suis plus ou moins petit. Du genre bien masculin, alors que moi on me confond souvent avec la gente féminine... Voyez la différence entre nous! Mais c'est lorsqu'il prononça ces quelques mots que le voile se dissipa... "Que lui voulez vous ? partez avant que je m'énerve ... " Pourquoi me défendait-il ? On se connaissait même pas! Et disons par la même occasion que mes opinions vers les étrangers sont pas rose. Il ne m'inspirais pas confiance au départ, mais aujourd'hui tout est différent. Les racailles qui comptaient m'emporter avec eux avait répondu comme attendu de ma part, une réponse négative. Ce que je ressentais à ce moment-là ? Vous marrez pas s'il vous plait... J'en avais marre de regarder la scène parce que je me pétais le dos. Vous n'avez pas idée de la douleur des courbatures que j'avais à ce moment là. C'est vrai, c'était pas vraiment le moment quoi... J'avoue que de penser à ça alors qu'un autre fonçait droit sur ces trois garnements pour les massacrer à mort était un peu, désolé de dire ça, mais con. Donc comme je le disais, il fonçait oui bien droit sur ces Gorillaz. Il n'eut pas trop de difficulté à se débarrasser d'un d'entre eux. Celui qui me maintenait sur ses épaules justement. Et j'avoue qu'il avait du potentiel le p'tit jeune! Même si je venais de me prendre le sol en pleine Je me demandais même s'il pouvait rivaliser avec moi... Pour dire! Très peu de personnes m'ont intéressé, voir aucune, mais lui, c'était bizarre. Je ressentais comme une rivalité entre nous deux. Bien qu'on ne se connaissait pas encore. Se qui intensifiait ma honte. Comment ça ? Mettez vous à ma place. Vous êtes là, vous vous faites enlever bêtement alors que vous êtes un criminel des plus redoutables de votre village, se qui à déjà un impact sur votre fierté, et le pire c'est que les individus qui vous font subir ça ne sont que des débutants! Et pour couronner le tout, un autre gamin apparait pour vous "sauver" la vie. Une horreur! Justement en parlant de lui d'ailleurs, il se dirigeait vers moi à grands pas. En le voyant arriver, je me débattais encore plus en tentant de défaire les liens qui maintenaient mes poignets liés entre eux. J'avais beau essayer, rien ne se passait. Faut dire qu'ils étaient plutôt doué dans l'art du noeud. Si on peut appeler ça de l'art... L'homme était là, juste à mes côtés. J'avais honte de le regarder. Je tournais la tête légèrement vers la gauche en essayant impérativement d'éviter un contact visuel avec celui-ci. Pourtant, il m'adressa la parole en me demandant si j'étais bien celui qu'on prénommait Deidara. J'approuvais d'un léger coup de tête. Il m'attrapa au niveau de mes bras qui étaient maintenus vers l'arrière et me releva. Je ne vous cacherez pas que je tirais une drôle de tronche. Vous savez le genre de tête comique, oui le genre désorienté et maladroit. J'aurais bien aimé voir celle-ci comme dans les bêtisiers de films ou on met pause sur l'image. Je me serais bien marré. Je me retrouvais enfin sur mes deux pieds. Un peu déséquilibré certes, mais au moins je ne respirais plus la terre qui virevoltait au sol. Sur le coup, je n'avais pas réagis. Je remettais en place mes vêtements qui étaient tout poussiéreux et remis en place ma mèche blonde qui était partie en live. C'est là que j'avais remarqué que je pouvais bouger librement. Plus rien n'était fixé à mes poignets. Je sentais en moi comme une libération. Je vais vous avouer que je ne supporte pas d'être comme qui dirais-je soumis. Maintenant que j'étais libre de faire ce qui me plaisait, j'avais pris la décision de ratatiner ces mongoles. De plus, celui qui m'avait apparemment libéré m'avais adressé deux petits mots. "Montre-moi ton talent" Nan mais pour qui il se prenait celui-là! J'étais pas son caniche non plus! Manquait plus à ce qu'il m'ordonne de faire le beau... J'avais envie de lui en mettre une mais massacrer les deux autres serait encore mieux! Qu'il croit pas que les agissement que je vais faire sont à l'origine de sa requête hein. Tout cela n'est que purement personnel. Je me préparais donc à attaquer, vérifiant mes armes, kunai, shuriken, bombes fumigènes sans oublier mon argile. Je commençais à m'écarter légèrement du terrain, en formant comme un cercle avec mes déplacements. Puis profitant du calme qui pesait dans l'atmosphère, un fumigène entra en action débutant ainsi le combat m'opposant aux brigands. Je ciblais mes cibles pour leur faire gouter à mon art. Le C2. Je plongeais mes deux mains dans mes sacoches pour y faire ressortir de l'argile et suite à ça, je les joignais entre elles pour créer la forme de C2 qui n'est autre qu'un immense dragon. Puis comme à mon habitude, je les délient pour venir frapper le sol et le faire apparaitre. Voilà comment fonctionne le C2. Mon esprit de sadique m'avait poussé à les faire sauter comme ça. Juste avec les bombes de mon attaque fétiche. Bon d'accord, j'avoue que ses explosifs font très mal, suite à cette attaque, vous êtes limite décomposé. J'eus pitié d'eux. Je ne fis sauter que l'un d'entre eux. Celui que l'autre homme avait déjà bien amoché. Pour moi il était temps de continuer ma route. J'avais déjà perdu assez de temps comme ça. Je pris mes affaires qui se trouvaient quelques mètres plus loin et continua ma route vers d'autres contrés.

Alors que je venais de délier le jeune déserteur des fils qu'il le retenait je lui avais donné un peu un ordre direct qui était de me montrer son talent enfin "Art" comme ils le disent je m'écartai en retrait pour observer les actions du blond . Il plongea ses deux mains dans les deux sacs qui étaient autour de sa ceinture, il en sortit de l'argile qui était tenu par les bouches qui était dans ces mains et qui machais la texture blanchâtre entre les dents avant d'en ressortir avec une forme de dragon miniature qu'il jeta à terre de la fumée apparue et le dragon avait pris une certaine taille il était monté dessus puis s'envolèrent dans les airs autour des adversaires le dragon avait ouvert la bouche et cracha un petit dragon qui s'écrasa sur l'adversaire et fit une grosse explosion, le corps ? il ni en avait plus il avait été déchiré par l'explosion l'autre était déjà bien amoché par mon attaque et parti par la pitié de Deidara

"Et Bien Voici Ton Talent Transformé L'argile en Explosif ... "

Le garçon avait pris ces affaires et disparaissait sans m'avoir remercié, Je descendis de l'arbre et marchais vers lui tel un prédateur qui traquait sa proie, je posai ma main sur son épaule puis le retourna pour qu'il me fasse face je vis en lui qu'il ressemblait beaucoup à une fille . Il avais pas la tête d'un malade des explosif il s'emblait inoffensif mais après sa prestation on voit très bien de quoi il est capable .

"Deidara j'ai entendu dire que tu fesait des attentat avec t'es explosif es vrai ? comment a tu obtenu ses bouche dans la paume de t'es main ?"


J'observais autour de moi et regardais le cratère crée par l'explosion il était assez imposant cet art est très dangereux mais je pence que il y a un point faible dedans une affinité pourrais peutetre empeché l'explosion de l'explosif ou peutetre juste le retardé je me retournais vers le blond , on dirais que il s'enfonce dans la solitude je pensais aussi qu'il n'avais plus de famille comme moi sauf que moi j'ai été l'auteur de la destruction du clan tout entier . Cet enfant ou allais t-il ? je ne pence pas qu'il avais bougé de son atelier pour un contrat mais plutôt on l'avais forcé vus l'explosion qu'il y avais eu lieu dans son atelier manifestait un combat mais aller savoir contre qui ...
Peutetre allais t-il dans une organisation ou aller détruire un village vu comment il était chargé mais sont visage ne montrait pas de peur alors que si on allais attaqué un village la peur serais homis présente sur son visage même si c'est vrai qu'il avais du talent , peutetre le début d'une rivalité entre nous deux ? qui sais ...